Les experts de DigitalBusiness ne recommendent pas ce courtier
Dépôt minimum: | - |
Montant de transaction minimum: | - |
Régulation: | - |
Fondé en: | - |
Siège social: | - |
Nombre d’actifs à trader: | - |
Depuis l’exode du mining de la Chine vers d’autres pays, le Kazakhstan est devenu l’un des meilleurs repaires en augmentant le nombre de ses mineurs et en accaparant une part importante du marché. Mais depuis, la demande en électricité a fortement accru, point qui constitue un problème dans le pays. On se demande maintenant si le gouvernement ne va pas priver les mineurs de Bitcoin d’électricité.
Coupure de courant pour limiter les mineurs au Kazakhstan
Le média neftegazRU avait rapporté il y a peu la position améliorée du Kazakhstan en matière de hashrate du Bitcoin. En effet, face au bannissement de l’industrie du mining en Chine, les mineurs ont activement cherché d’autres repaires sûrs pour poursuivre leurs activités. Parmi les nouveaux refuges, il y a eu le Kazakhstan. Si en 2020, il ne disposait que 4,5% du marché du hashrate du Bitcoin, en août 2021, ce chiffre a fait plus que quadrupler en passant à 18%.
Cependant, ce développement massif de l’industrie du mining a aussi engendré une énorme croissance de la demande en électricité. À noter que 90% de l’électricité du pays provient des énergies fossiles. Le gouvernement se pose alors des questions sur les mesures à prendre.
Le gouvernement a des doutes sur l’acceptation du Bitcoin
En 2020, le Kazakhstan avait annoncé un investissement de 700 millions de dollars dans le secteur du mining. Et cela a porté ses fruits si l’on ne cite que les 250 000 machines de mining actives dans le pays. Ce qui a causé également une hausse de la consommation d’électricité de 7% comparée à l’année précédente. Mais aujourd’hui, il paraît avoir des doutes au sujet de sa décision de s’ouvrir au minage du Bitcoin, première cryptomonnaie sur les sites de trading, car il envisage d’éventuelles pannes.
Pour y remédier au plus vite, le ministre de l’Énergie, Magzum Mirzagaliyev propose de limiter l’approvisionnement en électricité de l’industrie du mining à 100 MW au total soit 1 MW par ferme de minage. Si ce règlement s’applique, le gouvernement freinerait un secteur qui vient juste de prendre son élan. Cela pourrait aussi entraîner une nouvelle migration et donc, la perte de ce marché florissant dans le pays.