- Cette information a été confirmée par le PDG Changpeng Zhao.
- Il affirme également que la bourse a déposé une demande officielle de liquidation de l'entreprise frauduleuse.
Début juin, le régulateur nigérian des valeurs mobilières a émis une ordonnance publique pour mettre fin à Binance Nigeria Ltd. Apparemment, la bourse ne s'est pas enregistrée en tant que fournisseur de services et ne peut donc pas offrir ses services dans le pays.
La situation a provoqué une certaine résonance dans le réseau, qui a été enregistrée par les meilleurs courtiers français traitant des crypto-monnaies. Mais, comme il s'est avéré plus tard, Binance n'a aucune représentation sur le marché local. Apparemment, la marque de la plateforme était utilisée par des escrocs.
C'est ce qu'a déclaré le PDG Changpeng Zhao. Sur sa page Twitter, il a partagé la nouvelle que Binance a déposé une “lettre de cessation et d'abstention”, une demande officielle d'arrêter les activités frauduleuses potentielles sous un faux nom.
“Ne croyez pas tout ce que vous lisez aux informations”, a conclu Zhao.
On ne sait pas s'il y a eu des victimes des activités de la fausse “division” de Binance. Après une lettre de la société officielle, la contrepartie doit cesser ses activités. Sinon, il devra faire face à un tribunal et à des frais considérables. Fait intéressant, avant cela, Binance a quitté le marché des Pays-Bas, du Canada, de l'Australie et même de Chypre. De toute évidence, l'échange a fait face à des pressions dans certaines juridictions, qui ne font que s'intensifier dans le contexte d'un procès de la SEC aux États-Unis.
Amateur du trading, d’autant plus du trading en ligne, je passe des heures à analyser la Bourse et ses opportunités. J’ai commencé par un métier banal, comptable. Doué avec les chiffres, je me suis rapidement intéressé au trading, tout d’abord dans un cadre personnel. Puis j’ai choisi d’en faire mon métier en me mettant au service de DigitalBusiness.fr.